09 juillet 2001, 0h00
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La scène aurait très bien pu être tirée d’un film d’animation de la meilleure facture. Dans l’espace sidéral, flottant entre des myriades d’étoiles, des centaines de pièces mécaniques attendent, plongées dans l’apesanteur. Soudain, cadrans, aiguilles, roues dentelées et vis microscopiques s’animent, tourbillonnent, se rassemblent et s’agrègent pour former un mouvement de montre dont la complexité n’a d’égale que celles des matériaux nobles qui le composent. Le spectateur, rivé dans son fauteuil,...
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