04 mars 2010, 0h00
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La Suisse horlogère en avait bien besoin. Enfin une bonne nouvelle et d’envergure qui émane du marché du travail de ce secteur fortement impacté par les turbulences récessives. Depuis environ quinze mois, les annonces de chômage partiel ou de licenciements se succèdent à un rythme effréné. Avec un taux de chômage dans la branche qui prend des proportions très inquiétantes. Alors, lorsqu’une entreprise horlogère, et de surcroît pas des moindres, commence de nouveau à engager, c’est toute la profe...
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