28 septembre 2010, 0h00
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Les propos divers que l'on peut lire ou entendre laissent l'impression que la situation d'avant crise était normale. Tout marchait tellement bien qu'on a négligé les règles les plus élémentaires de sécurité. A quoi bon les respecter d'ailleurs? Les prêteurs offraient des crédits facilement et d'un coût fort modéré, les investisseurs donnaient au prix des actifs un élan sans précédent. Les dépenses allaient bon train tout comme les dettes qui s'accumulaient dans l'inconscience totale. Au moment d...
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