24 juillet 2009, 0h00
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Après des années de bagarre industrielle et familiale, le numéro un européen de l’automobile, l’Allemand Volkswagen, apparaissait jeudi proche de s’emparer de son compatriote constructeur de bolides de luxe, Porsche.
Cette intégration programmée, avec le soutien de l’émirat du Qatar, a provoqué le départ du patron de Porsche, le charismatique Wendelin Wiedeking, qui passait pour le patron le plus grassement payé d’Allemagne.
Il a eu le tort de vouloir s’immiscer dans les affaires d’une des fam...
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