14 septembre 2000, 0h00
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On se souvient des hurlements entendus à l’arrivée au gouvernement autrichien de Jörg Haider. Il n’était pas question que cette figure de proue d’une extrême-droite aux relents de xénophobie et de racisme reste au pouvoir. L’Union européenne mettait à l’encan l’Autriche et décidait sans attendre de sanctions. On allait voir ce qu’on allait voir: Haider devrait démissionner. Et ceux qui n’emboîtaient pas le pas n’étaient que des pleutres, des traîtres à la cause des droits de l’homme. Dont une Su...
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