26 février 2004, 0h00
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Si la réforme du secteur de la santé ne se résoudra pas en un jour, un fait semble aujourd’hui reconnu: le système actuel souffre avant tout des incitations contre-productives qu’il génère. Le bas niveau des franchises, en particulier, opère un effet direct sur les dépenses. En moyenne, un patient avec une franchise de 1500 francs dépense deux fois moins qu’un autre avec la franchise minimale. Et la préférence des assurés en meilleure santé pour la franchise la plus haute ne suffit pas à expliqu...
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