27 octobre 2003, 0h00
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L’économie américaine est réputée plus tolérante que l’européenne pour l’échec ou l’incident de parcours de l’entrepreneur . On dira que c’est exagéré. Mais Cédric Loiret-Bernal, l’ex-CEO de GeneProt, en offre quand même une nouvelle illustration. Parti dans des conditions mal éclaircies, il y a 18 mois, après avoir levé 122 millions de dollars et mis en route l’entreprise genevoise de protéomique, il vient de prendre le poste de CEO de l’une des plus prometteuses entreprises de la vague des nan...
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