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L’ex-CEO de Valora a délibérément agi dans le dos du conseil d’administration

Reto Hartmann dispose de dix jours pour faire recours. Ernst & Young a fortement déçu.

27 juin 2003, 0h00
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Destruction de documents, mensonges, conflits d’intérêts entre l’opérationnel et le conseil, tous les ingrédients sont réunis pour en faire le feuilleton financier de cet été. Hier, en effet, le conseil d’administration de Valora a commenté les nombreuses raisons qui l’ont poussé à licencier le 11 juin avec effet immédiat son ancien CEO, Reto Hartmann. Ce dernier est accusé d’avoir tenté secrètement de vendre le groupe bernois au prix le plus avantageux à la société d’investissement brésilienne ...
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