08 mars 2000, 0h00
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La question est d’importance, surtout en ces temps de découverte des atrocités commises dans le cadre des combats que livre l’armée russe aux tchétchènes. Et Claude Askolovitch de souligner qu’humilié d’avoir été négligé par l’Occident au Kosovo, Moscou ne tolère plus aucune critique. La crise tchétchène prouve par le sang le peu de cas que Vladimir Poutine fait des «droits-de-l’hommistes». Il se demande donc si la Russie libérale finira par subir le même sort que celui de la défunte République ...
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