22 février 2012, 0h00
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Ainsi, sous contrainte d'un contrôle encore plus strict de l'Europe, un accord avec la Grèce a été trouvé. Le secteur privé a donc accepté un hair cut de 53.5%, qui n'est finalement pas si élevé que ça, en comparaison avec ce que les détenteurs d'obligations argentines avaient dû subir il y a une petite dizaine d'années. Au-delà de ce hair cut, c'est surtout un apport immédiat de 130 milliards d'euros de liquidités, qui permettront au pays de faire face aux premières échéances à la mi-mars).&nbs...
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