L’Europe peut envisager l’avenir sans appréhension

Les Français aiment les cocoricos. C’est bien connu. Ernest-Antoine Seillère étant français, il était logique que, dans la conférence qu’il donnait hier soir à l’Université de Genève, il en poussât un. Mais nuance! Pas pour la France seulement, mais pour toute l’Europe. Rapportant l’expérience d’un de ses compatriotes qui avouait devoir sa réussite professionnelle à son séjour aux Etats-Unis, il nous a expliqué que celui-ci avait changé d’avis au point d’être certain, aujourd’hui, qu’il réussira...