11 octobre 2000, 0h00
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On sait que dans les derniers mois, les convertibles, parce qu’elles sont devenues de plus en plus sensibles au marché actions, ont été accusées de ne plus offrir leur traditionnel parachute obligataire. Après une période d’emballement puis de recul des titres, le marché des convertibles a souffert, car il n’est pas aussi liquide que celui des actions. Mais ces objections n’entament en rien l’enthousiasme de James Peattie, vice-président chez Merrill Lynch dans le domaine des obligations convert...
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