27 avril 2005, 0h00
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Jacques Chirac est prêt à toutes les promesses de Gascon pour persuader les Français de voter oui le 29 mai au projet de Constitution européenne. Impavide, il dit que la directive Bolkestein sur la libéralisation des services «n’existe plus». Et, sans sourciller, il assène à un auditoire déconcerté par les effets du libre marché que «l’Europe sera plus sociale, plus indépendante, plus puissante». S’il vendait des poêles à la criée, le camelot Chirac ferait un triomphe dans les foires. Car il dit...
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