10 mai 2000, 0h00
Partager
L’euro est montré du doigt, chaque jour, et alimente naturellement la presse spécialisée. Cette panique est tout à fait en ligne avec les mouvements de foules habituellement observés en analyse technique, et ne représente, en fait, qu’une situation mainte fois vécue sur les places financières. Contrairement à un avis fort répandu, le différentiel des taux d’intérêts ne joue pas un rôle majeur dans la chute de la monnaie unique. Seule compte la confiance que les marchés veulent placer dans une mo...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT