22 mars 2005, 0h00
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La Banque Centrale Européenne a toutes les raisons d’être «sérieusement inquiète», comme elle l’a déclaré hier, dans un communiqué sans précédent puisqu’il commentait presque en direct une décision politique de l’Union européenne. En arrachant – à quel prix? – à ces partenaires vertueux sur le plan budgétaire que sont l’Espagne, la Finlande et l’Autriche une réforme du Pacte de stabilité et de croissance, la France, l’Allemagne et l’Italie n’ont, il est vrai, pas seulement entériné leur abandon ...
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