21 mai 2008, 0h00
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Quelle mouche a donc piqué Moritz Leuenberger? Vingt-quatre heures après avoir lancé dans la SonntagsZeitung l’idée d’une ouverture du capital des CFF au secteur privé, il claironne que personne n’avait rien compris et qu’il avait juste voulu tirer la sonnette d’alarme. «Je suis tout à fait opposé à une entrée en bourse des CFF, affirmait-il lundi soir aux médias électroniques romands. C’est une idée folle.» Les socialistes se satisfont de cette explication qui leur évite de se brouiller avec le...
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