20 octobre 2009, 0h00
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Il s’agit peut-être d’un cadeau pour la Suisse romande. C’est surtout un handicap pour la place financière zurichoise. En ligne de mire, les filiales de sociétés internationales, plus particulièrement l’industrie du private equity et des hedge funds. Dans les faits, les autorités fiscales zurichoises tentent de briser le principe de l’indépendance des sociétés («arms length principle»), méthode de séparation et d’imposition des filiales en vigueur dans les pays de l’OCDE, y compris en Suisse. La...
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