11 juillet 2003, 0h00
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A l’instar de Microsoft, plusieurs groupes allemands semblent prêts à abandonner leurs programmes de stock-options, ce mode controversé de rémunération des cadres dirigeants souvent jugé peu transparent et injuste, à l’heure où l’Allemagne patauge dans la crise.
Le constructeur automobile DaimlerChrysler, le distributeur Metro ou encore l’éditeur de logiciels SAP ont fait savoir qu’ils pourraient prochainement renoncer à cette pratique. «Le programme de stock-options en cours expire en fin d’an...
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