13 décembre 2005, 0h00
Partager
Les prix actuels du brut ne sourient pas qu’à l’OPEP. Les producteurs de biocarburants n’ont jamais aussi bien porté leur surnom de cheikh verts. Une preuve? Le sucre vole à des niveaux de prix jamais atteints depuis une dizaine d’années, porté par le fait qu’une canne à sucre brésilienne sur deux finit dans les réservoirs des automobiles locales, européennes ou chinoises. Une part appelée à croître, surtout si l’essence demeure aussi chère chez le champion du monde de la spécialité. Idem chez s...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT