29 juillet 2004, 0h00
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Adieu canicule, adieu croissance. C’est en substance ce qu’a constaté Unilever durant le deuxième trimestre de cette année. Dans un été redevenu normal, les ventes de glaces Magnum ou de thé froid Lipton ne peuvent concurrencer les razzias de l’an dernier. Ce coup de froid sur le chiffre d’affaires a accentué la basse pression qui pèse sur la consommation dans les principaux marchés d’Unilever où, par ailleurs, la concurrence s’est aiguisée. Mais le blues du groupe de grande consommation anglo-n...
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