02 avril 2008, 0h00
Partager
Il est de plus en plus admis que la «résolution» de la crise financière amènera tôt ou tard un interventionnisme plus ou moins marqué de l’État. La pression est aujourd’hui triple.
D’une part, il y a prise de conscience du caractère insuffisant des mesures de politique économique traditionnelle (politique monétaire, budgétaire, change) aux États-Unis pour contenir les effets de la dépression immobilière et, partant, «soulager» quelque peu les dépréciations d’actifs par les banques. D’autre part...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT