25 mars 2010, 0h00
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Les convives de la haute société de Delhi sirotent leurs cocktails au rythme des morceaux de l’orchestre jazz dans l’immense jardin d’un bungalow de la capitale. Accoudé à une table haute, Paul Sarin allume un gros cubain qu’il a pris soin d’assortir à son whisky. Autrefois, réfractaire à fumer les cigares locaux, «infumables», l’homme d’affaires à l’élégance sobre et au regard ténébreux devait acheter ses cigares de Dubaï, puisque les importations en Inde n’étaient pas encore autorisées. Aujour...
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