13 mars 2000, 0h00
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Le magazine italien constate qu’entre Romano Prodi et l’Europe, la lune de miel est terminée. Accueilli comme un messie en 99, le président de la Commission européenne pédale aujourd’hui dans la semoule. Il s’attendait à devenir le premier ministre d’Europe; il se retrouve dans la peau d’un super-bureaucrate. Il Professore, remarquent des diplomates, n’était pas bien préparé à la fonction qui l’attendait. En plus, les Quinze ne lui rendent pas la tâche facile. Contrairement à Jacques Santer, Rom...
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