22 septembre 2005, 0h00
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C’est un Maurice Chevrier rayonnant qui serrait des mains hier dans la salle des pas perdus du Conseil national. Le démocrate-chrétien valaisan peut en effet se targuer d’avoir fait plier le plénum dans le délicat dossier de la libéralisation du marché de l’électricité. Sa proposition d’ouverture du marché en deux étapes a passé la rampe par 94 voix contre 92, en dépit de l’opposition de la majorité des élus radicaux, démocrates du centre et, démocrates-chrétiens. Ce succès est dû à l’alliance d...
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