19 janvier 2004, 0h00
Partager
Depuis qu’elle a redressé sa situation, la SGS se voit systématiquement confrontée à cette même question: où va-t-elle orienter ses efforts de croissance externe? Il est vrai que le groupe de surveillance genevois ne fait rien pour éluder cette interrogation. Il procède à plusieurs acquisitions de sociétés moyennes chaque année. Il lève de nouveaux fonds pour arrondir son trésor de guerre. Ce dernier, depuis l’émission en novembre de 300 millions de francs de convertibles, se monte à près d’un d...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT