23 octobre 2006, 0h00
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Tanguy Verhoosel à Bruxelles
On aurait dit des salonnards. Vendredi soir, Vladimir Poutine a affiché sa volonté de bâtir une «relation solide et mutuellement bénéfique» entre la Russie et l’Union, y compris dans le domaine de l’énergie. Les Vingt-Cinq, quant à eux, ont fait preuve de courtoisie à l’égard du maître du Kremlin, qui pourtant les crispe.
«Il n’est pas question de lier des actions morales à des actions économiques», avait prévenu le président français Jacques Chirac. «Il faut é...
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