08 novembre 2006, 0h00
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Les 25, divisés entre partisans d’un marché du travail flexible et apôtres d’une Europe plus sociale, ont une nouvelle fois échoué mardi à trouver un compromis pour réviser la législation européenne sur le temps de travail. Même en «poursuivant les efforts jusqu’au petit matin, il ne serait pas possible de trouver une solution», a jugé la ministre finlandaise du Travail, Tarja Filatov, dont le pays assure la présidence de l’UE jusqu’à fin décembre. La Finlande est la cinquième présidence de l’UE...
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