22 septembre 2006, 0h00
Partager
Les émeutes de Budapest, provoquées par un enregistrement dans lequel on entend le premier ministre Ferenc Gyurcsany reconnaître que son gouvernement a menti pendant un an sur l’état catastrophique des finances du pays, sont le dernier signe en date de la détérioration de la situation en Europe de l’Est.
En juin dernier, les Slovaques ont chassé le gouvernement qui avait sorti le pays de son isolation au niveau international et du marasme économique dont il souffrait sous le régime autocratique...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT