20 juillet 2005, 0h00
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Après les attaques de Madrid et de Londres, la mouvance islamiste radicale vient d’adresser aux gouvernements européens un ultimatum leur accordant un mois pour retirer leurs soldats d’Irak, faute de quoi il n’y aura plus que «des actes commis au cœur de l’Europe».
La Suisse n’a pas de soldats en Irak. En revanche, elle se trouve bien au cœur de l’Europe. Elle en constitue même le ventre mou. Ses services de renseignement ne se sont pas encore entièrement relevés de l’affaire des fiches. Ils re...
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