13 janvier 2010, 0h00
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Les vœux du Nouvel An sont souvent les cadeaux auxquels nous avons renoncé à Noël. J’ai d’autant plus de vœux à formuler que je n’ai pas l’impression d’avoir été choyé le 25 décembre. Je suis gérant de fortune indépendant et j’ai deux pères Noël, la FINMA et le Conseil fédéral, mais il ne semble pas que je sois dans leurs grâces. J’aimerais qu’ils me gâtent à hauteur de mes espérances mais, ces temps-ci, ils ont de toute évidence d’autres priorités.
Par moments, je les soupçonnerais presque de ...
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