10 septembre 2001, 0h00
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Une fois l’euphorie de son lancement passée, la réalité virtuelle a quelque peu déçu. Elle permet certes de voyager dans le temps – l’Egypte des pharaons ou l’abbatiale de Cluny au temps de sa splendeur – ou de pratiquer de l’entraînement dans des situations critiques – simulateur de vol ou réparations de centrales nucléaires –, mais elle reste fondamentalement virtuelle, c’est-à-dire une création purement conceptuelle d’un environnement artificiel dans lequel on s’immerge. A l’opposé, la réalit...
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