23 février 2011, 0h00
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L'aggravation des tensions en Libye et les suspicions de crimes contre l'humanité commis par le régime Kadhafi ont continué d'agiter les marchés. La flambée des prix du pétrole et les incertitudes sur la durée de la crise ont pesé sur les activités des investisseurs. En dépit des déclarations de l'OPEP qui se voulaient rassurantes. Les exportateurs de pétrole ont en effet affirmé à Ryad qu'ils étaient prêts à accroître la production en cas de pénurie. Le marché a une fois de plus perdu du ...
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