02 septembre 2008, 0h00
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Les marchés financiers sont en crise. Pour dire ses craintes, Martin Wolf, éditorialiste au Financial Times, reprend un vers du poète Robert Frost. «Some say the world will end in fire, some say in ice.» Martin Wolf, ardent défenseur des marchés, n’a pas la réputation d’un esprit faussement alarmiste. Sa vision symbolique décrit pourtant un monde pris entre le feu, le danger d’un krach financier, et la glace, l’inflation. Le journaliste conclut ainsi: «les temps sont périlleux».
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