02 octobre 2008, 0h00
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Atterrissage en douceur à l’aéroport JFK, jeudi dernier à 13 heures. En route vers l’hôtel planté au milieu de la 9e avenue, le chauffeur new-yorkais dresse le portrait de son pays mieux que n’importe quel patriote. L’inconditionnel de la voiture, dont la dernière visite dans un métro remonte à plus de 14 ans, fait la publicité d’une Amérique conquérante où tout reste possible. Il détaille avec un «great» enthousiasme propre aux Américains les bienfaits de la concurrence, de l’essence pas chère ...
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