11 mai 2004, 0h00
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La nervosité revient sur les marchés. Elle s’est aggravée au cours de la semaine dernière sous l’influence conjointe de la hausse des prix du pétrole et de la publication des chiffres de l’emploi américain.
Il aura quand même fallu quelques semaines pour faire comprendre aux spéculateurs qu’une nouvelle période s’ouvrait dans la régulation mondiale et qu’ils devaient en tenir compte. Depuis plusieurs mois, les fonds de marché, eux, l’avaient compris. En effet, ils ne performent plus depuis la m...
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