04 février 2010, 0h00
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La stimulation fiscale et monétaire des Etats et banques centrales produit ses effets à court terme. C’est en même temps un danger, car le court terme, un horizon d’un an, prédomine aujourd’hui pour les banquiers centraux. La stimulation extraordinaire menée en 2008 et 2009 a certes entraîné une stabilisation en termes de croissance et d’emploi. La croissance revient, mais les chiffres paraissent cependant trop beaux pour être vrais, avertit David Karsbol, chef économiste de Saxo Bank, qui était...
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