07 mars 2005, 0h00
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Depuis plusieurs mois maintenant, nous avançons que les taux de change et les taux d’intérêt à long terme américains sont contrôlés à Pékin plutôt qu’à Washington. Cet avis est maintenant largement répandu et affecte directement le comportement de ces marchés, dont la réaction dépend autant, voire plus, des déclarations des banques centrales asiatiques que de celles de Greenspan. Or le pouvoir des premières ressemble beaucoup à celui des superpuissances durant la Guerre froide: chacune avait le ...
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