12 mars 2007, 0h00
Partager
Parmi les tartes à la crème de la politique suisse figure indiscutablement l’exigence sans cesse renouvelée d’une hausse des crédits à la formation. Sous le prétexte, évident, que la Suisse ne dispose pas de matières premières en grande quantité et qu’elle se doit dès lors d’investir dans l’intelligence humaine, le monde politique s’enthousiasme à intervalles réguliers pour toutes les demandes devant déboucher sur un accroissement sensible des subsides à destination des hautes écoles ou autres é...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT