20 août 2008, 0h00
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Le renchérissement a atteint 3,1% en juillet, ce qu’on n’avait plus vu depuis 15 ans. Pour le président de l’USS, Paul Rechsteiner, la pleine compensation du renchérissement est le «fondement de toute négociation salariale digne de ce nom». Sinon, a-t-il dit hier, on entre dans une politique de baisse des salaires, qui se répercute sur le pouvoir d’achat et la consommation. Un non-sens économique.
Des hausses à prendre sur les marges des entreprises
L’USS réclame en outre une hausse générale d...
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