03 août 2009, 0h00
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Moins de deux mois avant la tenue des prochaines élections législatives, le principal syndicat allemand s’est refusé à appeler ses 2,3 millions de membres à voter pour le parti social-démocrate (SPD). Dans une interview au quotidien munichois Süddeutsche Zeitung, le leader d’IG Metall, Berthold Huber, n’a pas voulu donner de «consigne de votes». Cette décision est une très mauvaise nouvelle pour le candidat à la chancellerie, Frank-Walter Steinmeier, qui est à la traîne dans les sondages. Dans l...
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