08 janvier 2004, 0h00
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Lundi dernier, l’UDC martelait que 2004 devait enfin permettre de mener une politique résolument de droite. Hier, l’Union syndicale suisse (USS) a pris le contre-pied: de nouvelles économies retarderont des investissements d’avenir, donc la reprise. Mais ce sera au peuple, cette année, de donner le ton.
Selon Paul Rechsteiner, président de l’USS, la politique que défend la nouvelle majorité du Conseil fédéral ne recoupe pas les préoccupations de la population. Celle-ci s’inquiète du chômage et ...
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