12 janvier 2004, 0h00
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Les marchés obligataires retrouvent le sourire, un redémarrage rapide de la conjoncture mondiale étant remis en doute. Les investisseurs estiment que le risque de hausse des taux directeurs est minime, sauf au Royaume-Uni. Le carrousel des nouvelles émissions a tourné à plein régime. Les intervenants se sont montrés friands d’emprunts de débiteurs de second plan, par exemple, le nouveau papier de la Turquie à 30 ans a rencontré un vif succès. Aux Etats-Unis, les statistiques de l’emploi ont été ...
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