01 juillet 2008, 0h00
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Le baril à 200 dollars? La question divise encore. Mais davantage que l’envolée du brut, ce sont surtout les baisses des actions des sociétés pétrolières intégrées européennes et américaines, comme Shell ou Chevron, qui inquiètent les observateurs. A l’image du français Total ou de l’américain Exxon, qui ont respectivement perdu 3,76% et 6,08% depuis janvier, les «larges caps» du secteur ne semblent guère profiter de l’envolée des prix du pétrole. Leurs titres ayant quasiment tous reculés depuis...
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