03 décembre 2004, 0h00
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La sidérurgie européenne, qui achète ses matières premières en dollars et vend ses produits finis en euros, profite d’un point de vue comptable de la dégringolade de la monnaie américaine, mais avertit que les effets pervers du phénomène sont, à terme, plus importants que les avantages.
L’interminable plongeon du dollar permet, pour les importateurs européens de minerai de fer, de charbon et de coke, d’adoucir quelque peu les effets de l’envolée spectaculaire des prix de ces matières premières ...
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