01 septembre 2005, 0h00
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En juin dernier, le Conseil fédéral a décidé de supprimer le coordinateur des services de renseignement au profit d’un état-major de crise et de trois plateformes d’analyse commune entre les départements. La délégation de la commission de gestion – l’organe parlementaire chargé de surveiller les barbouzes – s’est penchée mardi sur ces mesures. Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’elle n’est pas convaincue par ce modèle. Elle l’a fait savoir hier avec beaucoup de diplomatie, mais non moins d’insi...
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