12 février 2001, 0h00
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Le logiciel le plus utilisé pour gérer les serveurs d’adresses internet (serveurs de noms de domaine) renfermait un défaut susceptible de compromettre des pans entiers du réseau mondial. Son exploitation permettait de prendre le contrôle de sites d’entreprises ou de pouvoirs publics, de détourner le courrier électronique, les mots de passe et les numéros de cartes de crédit. Le «bug» de BIND (Berkeley Internet Domain Name) a été corrigé à la fin janvier et les treize plus importants serveurs d’a...
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