14 décembre 2005, 0h00
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Avec sa verve habituelle, le conseiller aux Etats Carlo Schmid (pdc/AI) a résumé la situation politique que les décisions du Conseil fédéral sur l’avenir de Swisscom a suscité. «Nous aurions pu discuter s’il y a un sens que l’Etat garde le contrôle d’une entreprise de télécommunication», estime l’Appenzellois. Mais «cette discussion sera inutile, car avec toute sa démarche le Conseil fédéral a déjà préjudicié toute le débat.» Pour faire bonne mesure, le démocrate-chrétien porte encore l’estocade...
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