01 septembre 2004, 0h00
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Lea Brunner garde la mâchoire serrée. Contrairement aux autres orateurs, elle ne s’est pas levée. L’étudiante bernoise, membre de l’Organisation faîtière des syndicats d’étudiants européens (ESIB), lit sur un ton de commissaire politique le procès-verbal du «marché» suspecté d’infecter l’université et, horreur absolue, d’y instiller la concurrence. Face à cette froide détermination, le doyen de la faculté des sciences de l’Université du Lancashire qui vient d’expliquer comment fonctionnent certa...
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