15 octobre 2001, 0h00
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L’arrivée d’un médecin à la tête de l’Ecole polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL) a laissé croire que la haute école allait faire des sciences de la vie sa priorité. Les polémiques et les inquiétudes manifestées dans les pages «courrier des lecteurs» des journaux ont renforcé cette impression. Mais si la biologie n’était que l’arbre qui cache la forêt?
Bien sûr, Patrick Aebischer veut réserver une partie des forces du campus à la recherche biomédicale, mais la réforme qu’il a préparée est be...
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