29 décembre 2010, 0h00
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Selon Michel Juvet, membre de la direction de la banque Bordier Cie à Genève, 2011 s'annonce sous de bons auspices pour autant que certains scénarios ne se réalisent pas. Ainsi, l'horizon pourrait s'assombrir brutalement pour les investisseurs l'an prochain. Ces derniers doivent prendre en compte l'existence de trois «risques»; majeurs. L'inversion de la politique monétaire américaine, une hausse des rendements obligataires et du dollar, qui seraient négatives pour les actifs ayant bénéficié de...
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